Pour la volonté des dieux est une quête de l'acte 1 de "The Witcher 2: Assassins of Kings", qui débute quand Géralt arrive à Flotsam.
Guide[]
Un garde vous avertira qu'une exécution va avoir lieu sur la place publique, suivez Triss et Vernon pour arriver sur la place. Vous reconnaitrez deux des quatre condamnés, qui ne sont autre que Jaskier et Zoltan.
Allez parler à l'un des gardes. Dans le dialogue qui suit vous pouvez monter la foule contre la garde ou les provoquer directement. Si vous choisissez cette dernière option, vous devrez affronter trois adversaires au pugilat tandis que si la foule est de votre côté, vous n'aurez que deux adversaires.
Une fois ces derniers vaincus et humiliés, le commandant de Flotsam, Loredo, fait son appartion. Quelque soit vos réponses, il décidera d'épargner vos compagnons. Il vous invitera aussi chez lui au crépuscule, ce qui débloquera la quête "Une proposition immorale". Allez en suite à la taverne pour discuter avec vos amis retrouvés et ainsi débloquer la quête "Le Keyran"
Note sur le pugilat : Les indications donnés sont en "qwerty", attention à y prendre garde pour ceux qui possèdent un "azerty". Le "W" devient donc un "Z" et le "A" un "Q".
Entrée de Journal[]
Les événements culturels n'étant pas fréquent dans cette province, il n'est pas surprenant que la pendaison de quelques traitres ameutent toute la ville. Comme on dit : à Nilfgaard, fais comme les Nilfagaardiens. Géralt et sa bande se rendirent donc eux aussi sur la palce de l'échafaud pour se joindre à l'engouement général.
C'est à ce moment là que j'entre en scène, moi Jaskier l'inégalable, aux dires de ces dames, poètes, amants, agent secret, ami et confident de Géralt de Riv. Et à cet instant précis de mon récit, un cadavre en sursis avec une corde autour du cou. A mes côtés, sur l'échafaud, se trouvait Zoltan, lui aussi ami du sorceleur et des elfes qui m'étaient inconnus. On raconte qu'un jour, Un Rivien s'était porté volontaire pour monter sur l'échafaud pour ne pas laisser un criminel condamné se faire pendre seul. Mais je ne tenais pas à mourir. Géralt devait trouver un moyen de me sortir de là, surtout que j'étais l'informateur susmentionné de Roche.
Le sorceleur n'y va jamais par quatre chemins. D'instinct, il opta pour la solution là plus directe : aplatir les gardes pour ensuite s'attaquer au bourreau.
Zoltan et moi même fûmes sauvés in extremis par Géralt. Je poussai un soupir de soulagement et Zoltan essuya la sueur de son front. Le monde ne perdrait pas son poète le plus éminent... Les salutation commencèrent et n'en finirent plus. J'eus vent des évènements qui avaient conduit Géralt et sa bande à Flotsam. L'homme informé que je suis pouvait els aider dans leur recherche et ainsi payer sa dette de gratitude. Roche et Géralt m'interrogèrent sur Iorveth et Letho, et je leur révélai tout ce que je savais.